Vous êtes ici : AccueilActualitésChronique du SIEL 2015 : Le débat sur le droit à l’éducation donne le coup d’envoi des activités du stand sur la parité et l’égalité

Bulletin d'information

Actualités

28-03-2024

Résultat final: Avis de recrutement de deux cadres de gestion de d'encadrement (...)

Lire la suite

28-02-2024

Appel à candidature pour le poste de chargé principal de la promotion des droits (...)

Lire la suite

28-02-2024

Le programme prévisionnel des marchés que le CNDH envisage de lancer pour l (...)

Lire la suite
Lire toutes les actualités
  • Réduire
  • Agrandir

Chronique du SIEL 2015 : Le débat sur le droit à l’éducation donne le coup d’envoi des activités du stand sur la parité et l’égalité

Un débat serein sur le droit à l’éducation donne le coup d’envoi des activités du stand du CNDH et de l’ONU Femmes placé sous le thème ‘Parité, Egalité’ dans le cadre de la 21ème édition du Salon international de l’édition et du livre.

Lors de ce débat organisé dans le cadre de l’axe ‘Parole aux associations’ qui vise à jeter la lumière sur la dynamique des associations œuvrant pour la promotion des droits de la femme, la parole a été donnée au Comité de soutien à la scolarisation des filles rurales, représenté par Mme Ilham Lagrich et à la Fondation Zakoura Education, représentée par Dénia El Haddaoui. La rencontre a constitué une occasion pour faire connaitre les objectifs et les actions des deux associations (offre de bourses pour les filles, création de maisons des étudiantes, programmes de sensibilisation…) en matière de consolidation du droit à l’éducation.

L’accent a été également mis sur les contraintes qui entravent leurs actions sur le terrain. Les participants à cette rencontre ont été unanimes pour affirmer que si la problématique d’accès à l’école est une réalité autant pour les filles que les garçons, il va sans dire que leurs répercussions sont plus importantes chez les filles et les femmes, particulièrement en milieu rural. S’ajoutent à cela les us et coutumes et les mentalités qui constituent également une contrainte à l’éducation des filles qui se trouvent ainsi privées de l’un de leurs droits les plus fondamentaux.

Ils en outre levé le voile sur la réalité de la scolarisation de la fille rurale et sur les facteurs qui conduisent à la violation de ce droit (le Maroc est parmi les pays arabes où on enregistre les plus importants taux de déperdition scolaire), dont l’absence des différentes formes de soutien au niveau local, la faiblesse de l’offre de formation, l’enchevêtrement des rôles des différents intervenants, l’insuffisance des budgets alloués à l’enseignement en milieu rural…

 

 

Haut de page